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Interrogé sur la présence d'un avion tirant une bannière réclamant son départ au début du match, le technicien français a répondu: "Je suis payé pour faire un travail pour un club que j'aime et je le ferai aussi longtemps que je suis ici avec le plus grand engagement. Cela ne m'influence pas, je donne le meilleur de moi-même."
Après un hiver calamiteux, Arsenal connaît un regain de forme alors que le club tente de se qualifier pour sa 19e Ligue des champions consécutive. Après sa victoire à Stoke, le club londonien, 5e de Premier League, n'est plus qu'à un point de la 4e place détenue par Liverpool et à trois longueurs de Manchester City (3e), avec encore deux matches à jouer.
"Nous avons 69 points, faisons en sorte d'en avoir 72 mardi (match en retard contre la lanterne rouge Sunderland, NDLR) et après ça, je vais donner le meilleur aussi longtemps que je suis là, pour les valeurs de ce club", a continué l'Alsacien âgé de 67 ans et présent à Arsenal depuis 1996.
"Je veux me concentrer sur le football, le reste n'est pas important", a-t-il estimé. "Je ne fais pas de la politique. Je suis dans le sport, j'aime le sport et lui consacre 24 heures par jour. Je fais un travail public, certains sont d'accord avec moi, d'autres pas."
Selon certains médias britanniques, le club du nord de Londres aurait proposé une prolongation de contrat d'un an à l'entraîneur français. Mais Wenger n'a pas confirmé samedi soir après la rencontre: "Il n'y a aucune information là-dessus. Rien", a-t-il assuré.
En mars, Wenger avait expliqué avoir pris sa décision sur son avenir au club la saison prochaine, sans pour autant vouloir la révéler.